Présentations pour le Site

Afin de mettre une brève description de chaque membre sur le site, je voudrais que chacun se présente.

Je voudrais que vous présentiez votre perso préféré en premier et ainsi de suite:

- Nom
- Age (ça peu être inconnu)
- Lieu de naissance du perso
- Profession préférée(s)
- Date d'entrée dans la guilde
- Son histoire, ses préférences
- Etc... c'est ouvert à proposition alors lancez-vous!

PS: ne pas mettre trop d'infos qui pourraient servir à nos adversaires.

mais au pir met le ds une partie privé ( je c'est pas si sa existe sur un site ( car j'y connait pas grand chose mais bon)

Et on l'ecrit ou?

Mon pauvre Light, personne se lance ...
Alors je commence :

Nom : Yelo Sparo
Age : 30 ans
Né à Ascalon
Profession : Trappeur
A rejoint la guilde le
Élevé par ses parents dans un bourg à la périphérie d'ascalon, il a apprit de son père, la chasse. Il commerçait ses prises avec les échopes les plus réputées d'Ascalon. Puis la tension grandissante avec les Chars a ammené Yelo Sparo à s'engager dans l'armée du roi. Il a participé aux combats perdus de la Fournaise. Puis il a quitté l'armée à la suite de cette évènement. Préférant combattre les Chars a sa manière, il s'est lancé dans le commerce des peaux de Chars, mais la concurence était trop forte. Il s'est donc lancé dans l'artisanat du bois (objets décoratifs, arcs, outils divers) et a fait à cette occasion la rencontre de Yelo Spada et Yelo Spela. Ces dernières étaient ses meilleurs clientes. Ces dernières lui ont apris les origines communes qu'ils partageaient, et l'on présenté à un ancien professeur de la bibliothèque d'Ascalon pour en savoir plus concernant l'étrangeté de leur nom respectif. Puis ayant soif d'information, ils se sont engagés ensemble à la suite de Rurik lorsque l'évacuation des Ascaloniens a commencé ...

A mon tour !



Nom : Adumar Darklighter
Age : 21ans
Né à Beetletun
Profession : Moine
A rejoint la guilde il y a peu
Tout commence dans une modeste famille de Beetletun, une mère trop occupée dans les champs, et le père passant son temps en mer pour faire vivre sa famille. Adumar, lui, etait un enfant du village. Lui et son frère, Horus Darklighter, bien que très liés, n'avaient pas les même gouts, et n'aspiraient pas aux même choses. Il avait pris l'habitude de cotoyer un vieil homme, un ancien "Prêtre de Dwayna & de Balthazar" disait-il, ainsi que la propagande du Blanc Manteau sur une divinté invisible n'était que mensonge, d'après lui... Bien que beaucoup le prenait pour un vieux fou, même Horus pourtant tolérant, le pretre l'interessait fortement. Il avait l'art et la maniere de montrer d'etranges pouvoirs, ce qui ebranlait les conceptions et les croyances d'Adumar. Le pretre, comprenant qu'Adumar paraissait interessé, comprit qu'il etait temps de transmettre son savoir. Il invita Adumar a venir s'asseoir près de lui, puis lui expliqua quelques principes.

Les jours passaient, Adumar progressait vite. il montrait de grandes qualités sur ses incantations, autant ses pouvoirs benefiques de guerison produisaient une onde de plaisance autour de lui, autant ses sorts de chatiments fesaient une vague de puissance autour de lui. Adumar ne s'en doutait pas, mais le vieux pretre le savait : Ce garçon avait un grand avenir dans ce domaine.

Puis il advint un jour sombre, ou les dieux oublièrent de voir ce qui se passait vers Beetletun.
Adumar, accompagnait son frère a la chasse, quand il le sentit : Une onde de danger semblait rôder près de la ville. Ils se hatèrent, et le spectacle qui se deroula sous leurs yeux passa pour une veritable horreur : Une horde de morts vivants foncait droit sur Beetletun. Le vieux prêtre etait seul, accompagné d'inconnus : Une blonde guerrière armée d'un marteau, une etrange femme manipulant des morts, un moine plein de sagesse, un archer a barbichette, et une superbe princesse.
La bataille commença a faire rage, adumar exhorta a son frère de regrouper une arriere garde, sans discuter.
Le vieux prêtre fit preuve d'une formidable puissance au combat, manipulant a merveille ses sorts, accompagné de son disciple, Adumar, usant de ses maigres mais prometteuses connaissance. puis il advient un Dragon, composé d'os. Il neutralisa la splendide princesse qu'Adumar sauva en usant d'un sort contre le gaz suffocant qui se repandait dans ses veines. Helas, Adumar n'eu pas le temps ni l'energie necessaire pour aider son maitre : Dans un acte heroique, le pretre se jeta sur le dragon, usant de tout ses plus puissants sorts. Le dragon l'envoya voler en l'air, puis lui jeta son poison, avant de s'ecrouler, completement anéanti par la puissance du vieux maitre.
Adumar, pleurant de rage, defonça litteralement les squelettes restant en projettant une vague sacrée, puis s'agenouilla près du vieil homme, brisé et empoisonné, et tenta tant bien que mal de le sauver.
"-Arrete, ce n'est plus la peine, mon heure est venue. Dwayna m'apelle...
Adumar, effondré, lui demanda : -Que dois-je faire ?
-Il est temps pour toi de quitter ta ville natale. Accompagne ces gens, ils sont braves, et prometteur. Fais le bien autour de toi, aide ton prochain...
Il hoqueta. Adumar allait prononcer un mot, quand le vieil homme lui en empecha, puis rajouta :
-Tu dois trouver ma fille, mon ancienne disciple... Elle seule peut te faire progresser. Son nom est... Evennie...
Dans un dernier soupir, l'homme parti rejoindre sa Deesse.
Adumar se releva, puis, s'adressant aux aventuriers, leur demanda : "D'ou sortez vous ?". Le moine pris la parole et lui dit qu'ils venaient d'Ascalon, un royaume dechu, très loin d'ici.
Adumar parti avec eux, après avoir dit adieu a ses parents, puis son jeune frère s'elança après lui, et lui dit : des hommes venu de très loin appelés Kurzicks ont etabli une colonie ici.J'ai rencontré un homme apellé Lukas. Il m'initiera aux arts de l'épée. Je te retrouverai dans l'avenir Adumar, soi en certain.
Adumar parti, en pleine discussion avec le moine, Menhlo, qui commençait déjà a lui apprendre de nouveaux sorts.

Sympathique, originale et assez bien écrite (au niveau de l'expression ^^'). Tu mérite un bon point et une de ces gâteries dont seul George à le secret.

Je m'y mettrais bien un jour, si je suis inspiré

Bon alors je le recolle ici aussi lol !!

Elkar KHAEGGS


Il y a vingt-six ans naquit, dans la petite bourgade de Beerlohg-Daâr, à la frontière entre la Plaxte et le Guuryt, un petit garçon que ses parents nommèrent Elkar. Son père,Beerlys Khaeggs, était un modeste marchand de tissus et possédait une petite échoppe sur la place de la ville, et sa mère, Hodessha, aidait son mari du mieux qu’elle le pouvait tout en effectuant quelques autres tâches dans le voisinage, pour arrondir les fins de mois tant que faire se pouvait .
Comme il était fils unique, le petit Elkar semblait promis à une destinée toute tracée de…marchand de tissus, reprenant la boutique de son père après quelques années d’études, et surtout de labeur à ses côtés, pour être capable de reconnaître d’un seul coup d’œil une étoffe de Sabourhen, ou de faire la différence, rien qu’au toucher, entre le velours rabieusé et la soie de Turrkik. Mais il se trouve que les événements qui arrivèrent bouleversèrent les projets que Beerlys avait pour son fils…

Un jour d’été où l’enfant, âgé d’environ deux années, jouait dans la cour derrière la maison, sa mère, occupée à récurer le sol de la cuisine, l’entendit pousser un cri perçant et se mettre à pleurer ;elle vola aussitôt au secours de son bébé et le rassura en tâchant de découvrir la cause de ses pleurs. A ce moment, alors qu’il était en train de se calmer, Elkar ouvrit sa menotte .A l’intérieur se trouvait ce qui, à première vue, semblait être un petit morceau de charbon, mais qui, après étude un peu plus approfondie, était en réalité le cadavre calciné d’une guêpe de Binn.
Troublée, Hodessha en parla le soir à son mari qui ne sembla pas trouver l’événement aussi inexplicable que son épouse : l’insecte avait sans doute volé trop près d’un feu, s’était fait brûler et la fumée l’avait emporté jusque dans le jardin, et voilà tout ! Sa femme ne discuta plus de l’incident, mais conserva nonobstant le cadavre dans du coton sans que son mari le sache…

Rien de spécial ne se passa plus guère jusqu’aux douze ans de l’enfant, ses études élémentaires et primaires dans l’école du village ayant révélé un caractère réservé, voire taciturne, mais une nature travailleuse et obstinée et un bon esprit de camaraderie.
Mais en ce jour de Hurjyt, le mois le plus froid en Plaxte, la neige tombait à gros flocons depuis trois semaines et demie, et l’hiver promettait d’être le plus rigoureux qu’on ait connu depuis longtemps. Dans l’école d’Etudes Suivantes que fréquentait Elkar à Szdott, la « grande » ville la plus proche, l’ambiance entre les élèves n’était pas toujours la meilleure, les enfants arrivant à un âge où la compétition prend de plus en plus d’importance, mais Elkar sut tirer son épingle du jeu, tant au point de vue de ses résultats qu’à ceux des confrontations …physiques qui pouvaient arriver dans une cour de récréation.
Mais ça n’était pas le cas de tous ses camarades qu’il avait connus dans la petite école de Beerlohg-Daâr, et un jour l’un d’eux, particulièrement chétif, devint la cible d’une bande d’élèves armés de boules de neige. Les boules de neige, c’est inoffensif, mais à douze contre un, et lorsque certains malfaisants y introduisent des cailloux, on ne peut pas rester sans rien faire.
C’est ce que dut se dire Elkar puisqu’il vola au secours de son ami et, sans qu’il y eût réfléchi, se mit à lever les bras tendus au ciel, puis les abaissa brusquement en direction des assaillants de son camarade. Une pluie de cendres incandescentes s’abattit sur les infortunés qui en furent quittes pour la peur et quelques bonnets troués. Un surveillant assista à toute la scène et convoqua les parents. Le père, atterré, ne savait s’ils devenait fou en entendant cet homme, pourtant l’air si sérieux et honorable, leur décrire les faits. Son état empira lorsque le fils chéri, mandé par ledit surveillant, leur confirma, honteux, la tête basse, l’attaque à laquelle il s’était livré. Le surveillant admit toutefois que le seul objectif était de sauver un camarade du bombardement auquel il était près de succomber, et ce fut d’ailleurs la raison qui fit qu’il n’en parla point à la direction de l’école, à la condition expresse que le garçon n’employât plus jamais de tels procédés dans l’enceinte de l’établissement. Elkar promit, et tint sa promesse…pendant deux ans.

Un autre jour d’hiver, à l’âge où les paris stupides sont monnaie courante dans les conversations des garçons, Kihrmaân Sxlodar, un des camarades d’Elkar, habitant Beerlohg-Daâr comme lui, paria qu’il pourrait passer la nuit sur le Froo-Dùn, le sommet voisin,qui touchait également Szdott, et comme preuve, il en ramènerait un bouton de ruivre, ces fleurs qui ne poussent que dans le froid le plus extrême. Il faut dire que le Froo-Dùn est le sommet local le plus élevé et le plus froid, la température y descendant fréquemment jusqu’à des abîmes de froid qui correspondraient, selon notre système de mesure, à -20 ou – 25 ° centigrades ! Ses amis sifflèrent et le raillèrent tant et si bien que le soir venu, ses parents endormis, le garçon quitta sa maison et entreprit de gravir la montagne, malgré le vent glacial et la nuit presque totale.
Heureusement pour lui, le jeune homme gardait dans sa mémoire des repères qu’il avait emmagasinés à l’occasion d’autres sorties dans cette montagne, l’été précédent…Oui, mais on était en plein hiver et le jeune aventurier ne tarda pas à perdre ses souvenirs et ses certitudes dans le dédale de chemins immaculés qui montaient jusqu’au sommet, en pleine forêt. Bientôt, il fut totalement égaré, mais n’eut pas assez peur pour renoncer , se disant que de toute façon, une fois arrivé tout en haut, il n’aurait plus qu’à cueillir un bouton de ruivre et redescendre, il trouverait bien un chemin, n’importe lequel le ramènerait forcément vers un lieu chauffé et habité. C’était oublier les Skryjes des sommets.
Pendant ce temps, Elkar se morfondait dans son lit sans parvenir à trouver le sommeil. Il avait bien essayé de dissuader son camarade de partir, mais n’était point parvenu à le convaincre de laisser tomber. Vers une heure du matin, il sentit comme une vague de chaleur le submerger et décida qu’il devait aller à l’aide de l’inconscient. Il s’habilla à la hâte et quitta précautionneusement sa chambre. Mais Hodessha veillait. Elle aussi, mue par un instinct inexplicable, s’était réveillée en sueur et savait que quelque chose se passait. Elle s’était installée dans la cuisine, attendant les événements. Elkar lui raconta tout. Contre toute attente, la mère d’Elkar le laissa partir, l’encouragea même à courir au secours de son ami dans la glaciale obscurité de la montagne ! Elle le persuada que rien ne pourrait lui arriver et, bizarrement, il n’eut aucun mal à la croire.
Il se mit donc en route, affrontant le vent glacial qui soufflait du Nord, et au bout de quelque dix minutes, arriva au pied du Froo-Dùn, sur le sentier abrupt qui gravissait les pentes enneigées. Au bout de quinze minutes supplémentaires d’ascension, il parvint à l’endroit où, la pente s’adoucissant, le sommet formait comme un plateau incliné, semblable à une gigantesque motte de beurre dont on aurait arasé le sommet pour ne laisser que la base.
Elkar repéra rapidement le bruit, c’étaient des halètements rauques comme mélangés avec une sorte de hoquets ;il se dirigea prudemment vers ce qui semblait être un créature de la taille d’un grand cerf, mais debout, comme un ours mais en plus petit et moins gros. Le garçon sentit son cœur se glacer en voyant que l’animal paraissait s’attaquer à une proie couchée près d’elle ; sans réfléchir, instinctivement pourrait-on dire, le jeune homme écarta les bras au maximum, levant la tête et étirant sa poitrine vers l’arrière, puis il brandit ses poings réunis vers la bête, les bras tendus au maximum, tremblant sous l’effort de contraction de tous les muscles du thorax et du ventre. La pluie de feu cingla le skryge de plein fouet, et, paralysé par la soudaineté de l’attaque, il resta d’abord comme pétrifié, puis il sembla enfin prendre conscience de la douleur qui le fouettait et disparut en hurlant.
Par bonheur, Kihrmaân était choqué, mais vivant. Son visage portait quelques égratignures et il se tenait le bras, mais ça paraissait sans gravité. Il avait erré à la recherche du bouton de ruivre et en avait trouvé un buisson, mais par malheur, il avait dérangé un skryge qui avait juste commencé à l’attaquer lorsqu’Elkar est arrivé. Celui-ci décida de redescendre par l’autre versant de la montagne, car de ce côté se trouvait leur école, et il était sûr d’y trouver de l’aide car l’établissement disposait d’un internat.
Ils descendirent donc, Elkar soutenant et réconfortant son ami, et arrivèrent bientôt à la grande porte de l’école. Après qu’il eût sonné, Elkar entendit bien un bruit derrière lui, comme un halètement sourd, mais n’y prêta pas attention, car...la suite + tard !

--------------------------------

car il tendait l’oreille aux bruits de l’intérieur de l’école. La lourde porte métallique pivota enfin et ils pénétrèrent dans la vaste cour pavée, bousculant presque le gardien qui les laissa passer, pétrifié par ce qu’il voyait venir derrière eux : le skryge s’était remis et , assoiffé de vengeance, les avait suivis jusque là !
Aux cris du gardien, Elkar se retourna et sentit une puissante onde de chaleur irradier son corps entier. Avec un hurlement de rage, il répéta les gestes qu’il avait fait sur la montagne, mais avec encore plus d’énergie, et presque comme s’il était mû par une force qui lui était étrangère : une véritable boule de feu jaillit et frappa le skryge de plein fouet. Cette fois, l’animal n’y survécut pas et sa dépouille s’abattit pesamment aux pieds du cerbère de l’école.

Elkar dut alors quitter l’école à cause du « danger » qu’il aurait représenté aux yeux des parents d’élèves si cette histoire s’était sue, et son père accepta assez bien la suggestion d’Hodessha qui proposa de l’envoyer chez son frère qui possédait un petit mais prospère commerce de pierres précieuses dans Hoôsch-Puûr, la capitale.
En réalité, l’oncle d’Elkar n’était pas plus commerçant que vous n’êtes montreur de skroôwitts sur les places publiques, cela dit sans vouloir vous offenser, bien entendu. Non, en fait, le frère d’Hodessha n’était autre que Rym-Ddalmoôn, le grand thamaturge élémentaliste. Il vivait dans la discrétion la plus totale mais en étant reconnu par ses pairs comme l’un des plus grands et plus puissants mages de son temps. Même son beau-frère, Beerlys croyait en cette histoire de négoce de bijoux, ce qui n’était qu’une façade. Certes, Rym-Ddalmoôn manipulait des pierres, mais c’étaient des gemmes magiques et de guérison et non de vulgaires cailloux comme le diamant ou le rubis.
Dans la famille, seule sa sœur connaissait le secret de Rym-Ddalmoôn, et c’est pourquoi elle lui envoya Elkar chargé d’une missive qui expliquait l’indéniable …sympathie que le garçon ressentait pour l’élément igné..../...

Je crois que ça va faire un peu long pour le site ...
On mélange la petite présentation de notre perso principale avec le début d'un RPG auquelle personne ne joue dans la guilde (j'entend par la, un RPG basé sur la partie PVE de GW ...)

M'enfin si ça convient à Light ...

- Dark Miyabi
- 24 ans
- né dans le havre des pecheurs
- profession : instructeur
- Createur de la guilde avec kalimshar
- le reste dans le prochain edit

- Ewidan Heraldis
- 17 ans
- profession: moine
- a rejoin la guilde en fevrier

Ewidan né au contrée sauvage a grandit dans la pauvreté, son pere chasseur dans la foret et sa mere druide de se petit village. Il fut inspirée par sa mere dès son plus jeune age en la suivant a travers ces periples!
Ewidan suivit la voie de sa mere et veux apprendre a soignez les personnes en difficultées, c'est pour cela qu'a l'age de 15 ans il fut entrainé a la profession de moine! Apres 6 mois d'entrainement intencif par le moine du village voisin (l'eperon des druides) il se consacrat au bien fait des membres du groupe qu'il rencontra en parcourant les villes, en progressant dans la decouverte de son pays (la tyrie). Ewidan integra dc la caste des prodiges pour y evoluer et decouvrir quelque personne d'experience!

veuillez m'escuser pour les fautes d'orthographes et les expressions que j'utlisent car ce n'est pas mon fort la redaction

-Ielda Redphantomcat, jumelle de Garf rodeur de son état
-29 ans
-Profession aucune, vocation: moine de bataille
-a rejoint la guilde en avril pour y poser definitvement son baton apres avoir silloné la tyrie

Née au Donjon de chef tonnerre lors d'une nuit de penurie en moine
Apres avoir protégé la tyrie et apris tout ce qu'il ya a savoir en compétence monacale elle se decouvre une passion pour les batailles et y gagne un surnom: boundatak. Dotée d'une véritable obsession pour les barres de vies elle considere comme un echec personel toute mort dans son groupe qu'elle couve comme une mère louve face a une meute de chacals assoifés de sang.

Citation :

une meute de chacals

On dit pas une meute de chacaux ?

Garf a écrit:

Apres avoir protégé la tyrie et apris tout ce qu'il ya a savoir en compétence monacale elle se decouvre une passion pour les batailles et y gagne un surnom: boundatak.

C'est la réalité qui rejoint la fiction là !

un général, des généraux, un journal, des journaux, un carnaval, des...carnavals ( sorte d'autobus amphibie), un chacal, des chacals, un gâtal , des gâteaux , un panal, des panneaux !!

mdr garf terrible la presentation

Elkar Khaeggs a écrit:

un général, des généraux, un journal, des journaux, un carnaval, des...carnavals ( sorte d'autobus amphibie), un chacal, des chacals, un gâtal , des gâteaux , un panal, des panneaux !!

la Raison aura raison de l'homme

Nom : Ndo Gogira Ndo
Age : 25 ans
Né aux chutes de quarrel
Profession : Roxorr
A rejoint la guilde le 21/8/06 apres avoir roxerr toutes les autres guilde

Née d'un croisement peu commun d'une moniale a la retraite et d'un guerrier "heroique" du nom de Krolll le Massakreurr.
Mon nom a ete dur a choisir,ma mere voulait m'appeler le grand soigneur et mon pere kevin le roxorr mais je fus tres vite initiés au language du guerrier Sms par mon pere.

Ma vocation de G/M commenca en traitant ma mere de noob apres avoir fait un barbecue de golem de pierre.

A 13 ans mon pere partis chasses avec ma mere.je ne les revis plus jamais(1minute de silence .)

je fus eleves par des minautores du bief d'elona ce qui me donne cette allure bestial et leur inteliggence hors du commun.Peu a peu je reussis a les farmer,me faisant exclure de leur communautes.

Encore incompris par certains je lancit une campagne de mode(l'armure de droknar avec le cochon ca vient de moi.)

Et maintenant vous avez interet de roxerrrr
(bon ok maman je vais me coucher)

Ce petit m'inquiète des fois

Allez ! Au dodo dans la cellulule

lol sharon, il devrait te dir, "Oui, mon seigneur"
et apres avoir fini une mission " travail terminé"


je fait allusion a quelque chose mais quoi??

Gogira a écrit:

je lancit une campagne

aïe :/

Je donne ma langue au chat Wiwi

Warcraft 3 les humains

bien joué gogira

j'ai gagne le droit de poster encore des messages qui me valent une reputation de fous maintenant?

La Jeunesse d'un prodige, ou l'histoire d'un enfant de la DDASS

Nom: Mary Juanah
Âge actuel: 19 ans
Proffession: seul l'avenir nous le dira (m'enfin vous verrez dans la suite que j'écrirais quand j'aurais le temps)

Née dans un petit village des Cimefroides du Sud, aux abords de la forge naine de Marhan, Mary vint au monde dans des circonstances troublantes.
On ne connait que très peu de détails sur ses parents, certaines de leurs connaissances, à l'époque, parlaient de "types modestes et discrets"; aujourd'hui ils ne parlent plus du tout. On sait de son père qu'il était pêcheur de proffession, plutôt pauvre, un citoyen ordinaire. Sa mère, elle, était étrangère, une de ces "saloperies d'imigrées" comme les appellent les nains de la région. Un vieux registre apprit quelques année après sa mort — et la naissance de Mary, qu'elle était originaire du Sud, dans ces contrées désertiques peuplées de fantômes, où une rumeur souffle qu'un antique tombeau abriterait un passage dans le royaume des morts.
Son enfant vint au monde pendant une nuit d'hiver très froide, quelques heures après le solstice, dans la très humble chaumière où vivait la famille.
Le père étant parti en mer et sa jeune épouse n'ayant pas su sentir les signes annonçant la venue imminente de son premier enfant, elle se retrouva seule pendant la nuit qui lui fut fatale. Ses hurlements couverts par le souffle de la tempête qui approchait, venant des côtes, on ne découvrit son corps anormalement maculé que le lendemain, un nourrisson têtant le sang d'un sein couvert de contusions.

La plupart des villageois rendus superstitieux parce que trop crédules, virent dans cette naissance un mauvais présage, et l'enfant fut confié à une nourrice qui, malgré son apparente expérience, n'en menait pas large.
Celle-ci se pendit une semaine plus tard, apprenant qu'on avait retrouvé sur la plage le cadavre du père avec les débris de son bateau, soufflé par la tempête qui avait fait trembler le village pendant la nuit du solstice.
Elle fut donc confiée à un orphelinat de Droknar, avec plusieurs carnets et une lettre de sa nourrice, aussi étrange que celà puisse paraître à la vieille femme qui occupait le poste de gestionnaire du refuge depuis un nombre d'années qu'elle même peinait à se rappeller.
Etant la seule personne lettrée de l'établissement, elle fut la seule à même de lire le pli supérieur de la lettre de la nourrice et qui, à sa grande surprise, lui était addréssé.

Bonjour Annah.
Tu ne te souviens certainement plus de moi, mais je me rappelle avec une intensité frappante ma jeunesse passée sous ta tutelle, dans cet orphelinat que tu dirige peut être encore, depuis toutes ces années.
Je sais que cette enfant te sera confiée, et je dois te demander une dernière chose, avant de partir coupable d'en avoir trop compris sur ces choses du destin qui échappent à la raison humaine.
Ma requête est la suivante : préserve la vie de l'enfant et donne lui ces carnets quand elle sera en âge d'en tirer les leçons de sa mère.
Je sais que la curiosité te poussera à les lire, mais je te demande de t'en abstenir, par respect pour les secrets des défunts parents dont tu as la progéniture sous les yeux.
Puisse ta mort être plus douce que la mienne et les années passer avant qu'on ne ferme ta tombe.

Surprise, la vieille femme posa la lettre et lança un regard dans le berceau. Comme si elle avait pu sentir à travers son sommeil le regard de sa nouvelle tutrice, le bébé se réveilla et, se retournant, décocha un regard remplit d'une haine indiscible à la pauvre femme, qui n'aurait jamais pensé qu'un nourrisson puisse la terrifier comme Mary le fit ce jour là.
Remise des ses émotions, elle fit en sorte que l'on s'occupat de suite de sa dernière protégée.

Mary Juanah grandit donc dans ce foyer, ou tout le monde se souvient d'une enfant étrangement calme et réservée, trop même, mais surtout d'une enfant détestée de tous, et qui ne semblait pas s'en plaindre, au contraire.
Il n'était pas rare d'entendre les nouveaux venus se plaindre de "la fille toute blanche" qui avait l'étrange manie de terroriser ses congénères, bien qu'il ne fut jamais possible de trouver trace des sévices dont ils se disaient victime.
Elle avait nottement — selon les dires d'une des tutrices de l'établissement — fait paniquer tout un dortoir à l'âge de sept ans en racontant "une histoire de fantômes", comme le dirent tout les enfants de l'orphelinat, bien qu'aucun d'entre eux ne soit capable de préciser son témoignage, visiblement paralysés de terreur.
La punition dont elle fut accablée n'eut pour effet que de la faire ricaner dès qu'elle fut seule.

Malgrès les perturbations dont elle était la cause, la gestionnaire de l'établissement ayant longement considéré les dernières volontés de la défunte nourrice de Mary, décida de lui enseigner la science des lettres.
Un jour, un garçonnet s'enhardit assez pour se moquer de la jeune fille à cause des longues heures qu'elle passait dans le bureau de "la vieille Annah".
Mary n'eut besoin que d'un regard associé à un petit sourire en coin pour que le garçon fuie à toutes jambes. On retrouva le lendemain son cadavre recroquevillé derrière un tonneau, dans une cave, comme si il était mort en tentant de se cacher.
Bien entendu, personne ne pouvait accuser une petite fille, mais la suspition régnait, après toutes les atrocités dont elle était quotidiennement accusée (la plupart sorties de l'imagination débordantes d'enfants terrifiés), la méfiance des naturelle de ces vieilles femmes superstitieuses de l'orphelinat était éveillée.

Leurs craintes furent confirmées lorsque à l'âge de treize ans, un gaillard un peu plus âgé qu'elle mit Mary au défi de faire du mal à son petit frère, venu se plaindre plus tôt.
Mary, devenue une jeune adolescente au caractère sulfureux, plongea littéralement sur le garçon, le meurtre dans les yeux, et saisit celui-ci à la gorge. Avec une violence et une force insoupçonnée, elle le plaqua sur le mur qui lui faisait face. La vieille Annah, étant entrée dans la pièce quelques secondes plus tôt, sentit comme un coup de tonnerre silencieux, l'air vibra avec une intensité terrifiante et le jeune garçon glissa mollement sur le sol, inerte. Mary partit calmement, Annah étant encore trop sonnée pour réagir.
Le garçon était encore vivant, comme elle put le constater, mais sa peau, aussi blanche que la chaux qui recouvrait les murs, était froide comme la mort. Il semblait n'être plus capable de prononcer le moindre mot, les yeux dans le vague, mort dans l'âme sinon dans le corps.

Mary quitta l'orphelinat le lendemain. Selon le témoignage d'une femme d'âge mur dont le rôle dans l'établissement pouvait être défini comme celui de concierge, la jeune fille était "juste partie...", sans rien demander, avec ses maigres possessions.
On apprit plus tard que la vieille Annah était venue la voir pendant la nuit pour la sommer de partir, en lui remettant trois carnets et une lettre donc le parchemin datait apparement de quelques années.


______________

Je ferais la suite plus tard, si votre instinct masochiste vous pousse a me demander de remettre ça